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OrelSan - Suicide Social

kunci lagu dan chord OrelSan - Suicide Social
1

[Couplet unique]
Am
Aujourd’hui sera l’dernier jour de mon existence
Am
La dernière fois qu’j’ferme les yeux, mon dernier silence
Am
J’ai longtemps cherché la solution à ces nuisances
F
Ça m’apparaît maintenant comme une évidence
Dm
Fini d’être une photocopie
F5
Fini la monotonie, la lobotomie
Dm
Aujourd’hui, j’mettrai ni ma chemise, ni ma cravate
Fm Em
J’irai pas jusqu’au travail, j’donnerai pas la patte
Am
Adieu les employés d’bureau et leurs vies bien rangées
Am
Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait
Am
Ça prendrait un peu d’place dans leurs cerveaux étriqués
Am
Ça les conforterait dans leur médiocrité
Fm
Adieu les représentants grassouillets
Fm
Qui boivent jamais d’eau, comme s’ils n’voulaient pas s’mouiller
Fm
Les commerciaux qui sentent l’after-shave et l’cassoulet
Fm
Mets d’la mayonnaise sur leur mallette : ils s’la boufferaient
Am
Adieu, adieu les vieux comptables séniles
Am
Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles
Am
Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés
Am
Qu’empileraient les cadavres pour arriver jusqu’au sommet
Am
Adieu tous ces grands PDG
Fm
Essaie d’ouvrir ton parachute doré quand tu t’fais défenestrer
Am
Ils font leur beurre sur des salariés désespérés
Am
Et jouent les vierges effarouchées quand ils s’font séquestrer
Am
Tous ces fils de quelqu’un, ces fils d’une pute snob
Am
Qui partagent les trois-quarts des richesses du globe
Am
Adieu les p’tits patrons, ces beaufs embourgeoisés
Am
Qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d’été
Bb
Adieu les ouvriers, ces produits périmés
A
C’est la loi du marché, mon pote : t’es bon qu’à t’faire virer
Am
Ça t’empêchera d’engraisser ta gamine affreuse
Bb Am
Qui s’fera sauter par un pompier, qui va finir coiffeuse
Am
Adieu la campagne et ses familles crasseuses
Am
Proches du porc au point d’attraper la fièvre aphteuse
Am
Toutes ces vieilles, ces commères qui s’bouffent entre elles
Am
Ces vieux radins et leurs économies d’bout d’chandelles
Fm
Adieu cette France profonde
Am F Am
Profondément stupide, cupide, inutile, putride
Am
C’est fini, vous êtes en retard d’un siècle
Am
Plus personne n’a besoin d’vos bandes d’inceste
Am
Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale
Am
Qui essaient d’prouver qu’ils valent mieux qu’toi à chaque fois qu’ils t’parlent
Am
Tous ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com’
Am
Dans la télé, dans la musique, dans la mode
Am
Ces Parisiens, jamais contents, médisants
A
Faussement cultivés, à peine intelligents
Am Bb
Ces répliquants qui pensent avoir le monopole du bon goût
Am
Qui regardent la Province d’un œil méprisant
Am
Adieu les Sudistes, abrutis par leur soleil cuisant
Am
Leur seul but dans la vie, c’est la troisième mi-temps
Am
Accueillants, soi-disant, ils t’baisent avec le sourire
Am
Tu peux l’voir à leur façon d’conduire
F
Adieu ces nouveaux fascistes
F
Qui justifient leurs vies d’merde par des idéaux racistes
F
Devenu néo-nazi parce que t’avais aucune passion
G
Au lieu d’jouer les SS, trouve une occupation
Am
Adieu les piranhas dans leur banlieue
Am
Qui voient pas plus loin qu’le bout d’leur haine, au point qu’ils s’bouffent entre eux
Am
Qui deviennent agressifs une fois qu’ils sont à douze
Am
Seul, ils lèveraient pas l’petit doigt dans un combat d’pouce
F
Adieu les jeunes moyens, les pires de tous

Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse
Bb A
Adieu les fils de bourges qui possèdent tout mais n’savent pas quoi en faire
A
Donne leur l’Éden, ils t’en font un Enfer
Am
Adieu tous ces profs dépressifs
Am
T’as raté ta propre vie, comment tu comptes élever mes fils ?
Am
Adieu les grévistes et leur CGT
Am
Qui passent moins d’temps à chercher des solutions qu’des slogans pétés
Fm
Qui fouettent la défaite du survêt’ au visage
Am
Transforment n’importe quelle manif’ en fête au village
F5
Adieu les journalistes qui font dire c’qu’ils veulent aux images
G5
Vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages
Am
Adieu la ménagère devant son écran
A5
Prête à gober la merde qu’on lui jette entre les dents
A5
Qui pose pas d’questions tant qu’elle consomme
Am
Qui s’étonne même plus d’se faire cogner par son homme
A5
Adieu ces associations bien-pensantes
Am
Ces dictateurs de la bonne conscience
A5
Bien contents qu’on leur fasse du tort
Am
C’est à celui qui condamnera l’plus fort
Am
Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées
Am
Qui cherchent dans leur féminité une raison d’exister
Am
Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité
F5
Danser sur des chariots : c’est ça votre fierté ?
F5
Les Bisounours et leur pouvoir de l’arc-en-ciel
F5
Qui voudraient m’faire croire qu’être hétéro c’est à l’ancienne
F5
Tellement… tellement susceptibles
A5
Pour prouver qu’t’es pas homophobe, faudra bientôt qu’tu suces des types
A5
Adieu ma Nation
Am
Tous ces incapables dans les administrations, ces rois d’l’inaction
A5
Avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir
A5
Qui font exprès d’ouvrir à des heures où personne peut venir
A5
Bêêêêh… Tous ces moutons pathétiques
F5
Change une fonction dans leur logiciel, ils s’mettent au chômage technique
A5
À peu près l’même Q.I. qu’ces saletés d’flics
A5
Qui savent pas construire une phrase en-dehors d’leurs sales répliques
A5
Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps
A5
Tout l’système est complètement incompétent
A5
Adieu les sectes, adieu les religieux
A5
Ceux qui voudraient m’imposer des règles pour que j’vive mieux
F
Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux
F5
Qui préfèrent s’faire enculer par la Française Des Jeux

Adieu les banquiers véreux, le monde leur appartient
G5
Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main
A5
J’comprends qu’j’ai rien à faire ici quand j’branche la 1
A5
Adieu la France de Joséphine Ange-Gardien
A5
Adieu les hippies, leur naïveté qui changera rien
A5
Adieu les SM, libertins, et tous ces gens malsains
A5
Adieu ces pseudo-artistes engagés
A5
Plein d’banalités démagogues dans la trachée
A5
Écouter des chanteurs faire la morale ça m’fait chier
A5
Essaie d’écrire des bonnes paroles avant d’la prêcher
A5
Adieu les p’tits mongols qui savent écrire qu’en abrégé
Am
Adieu les sans papiers, les clochards, tous ces tas d’déchets
Am
J’les hais ! Les sportifs, les hooligans dans les stades
Am
Les citadins, les bouseux dans leur étable
A5
Les marginaux, les gens respectables
Bbm
Les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables
Am
De la plus grande crapule à la Médaille du Mérite
G
De la première dame au dernier trav’ du pays !
N.C.
*Détonation…*

Aujourd'hui sera l'dernier jour de mon existence La dernière fois qu'j'ferme les yeux, mon dernier silence J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances Ça m’apparaît maintenant comme une évidence Fini d'être une photocopie Fini la monotonie, la lobotomie Aujourd'hui, j'mettrai ni ma chemise, ni ma cravate J'irai pas jusqu'au travail, j'donnerai pas la patte Adieu les employés d'bureau et leurs vies bien rangées Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait Ça prendrait un peu d'place dans leurs cerveaux étriqués Ça les conforterait dans leur médiocrité Adieu les représentants grassouillets Qui boivent jamais d'eau, comme s'ils n'voulaient pas s'mouiller Les commerciaux qui sentent l'after-shave et l'cassoulet Mets d'la mayonnaise sur leur mallette : ils s'la boufferaient Adieu, adieu les vieux comptables séniles Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés Qu'empileraient les cadavres pour arriver jusqu'au sommet Adieu tous ces grands PDG Essaie d'ouvrir ton parachute doré quand tu t'fais défenestrer Ils font leur beurre sur des salariés désespérés Et jouent les vierges effarouchées quand ils s'font séquestrer Tous ces fils de quelqu'un, ces fils d'une pute snob Qui partagent les trois-quarts des richesses du globe Adieu les p'tits patrons, ces beaufs embourgeoisés Qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d'été Adieu les ouvriers, ces produits périmés C'est la loi du marché, mon pote : t'es bon qu'à t'faire virer Ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse Qui s'fera sauter par un pompier, qui va finir coiffeuse Adieu la campagne et ses familles crasseuses Proches du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse Toutes ces vieilles, ces commères qui s'bouffent entre elles Ces vieux radins et leurs économies d'bout d'chandelles Adieu cette France profonde Profondément stupide, cupide, inutile, putride C'est fini, vous êtes en retard d'un siècle Plus personne n'a besoin d'vos bandes d'inceste Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale Qui essaient d'prouver qu'ils valent mieux qu'toi à chaque fois qu'ils t'parlent Tous ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com' Dans la télé, dans la musique, dans la mode Ces Parisiens, jamais contents, médisants Faussement cultivés, à peine intelligents Ces répliquants qui pensent avoir le monopole du bon goût Qui regardent la Province d'un œil méprisant Adieu les Sudistes, abrutis par leur soleil cuisant Leur seul but dans la vie, c'est la troisième mi-temps Accueillants, soi-disant Ils t'baisent avec le sourire Tu peux l'voir à leur façon d'conduire Adieu ces nouveaux fascistes Qui justifient leurs vies d'merde par des idéaux racistes Devenu néo-nazi parce que t'avais aucune passion Au lieu d'jouer les SS, trouve une occupation Adieu les piranhas dans leur banlieue Qui voient pas plus loin qu'le bout d'leur haine, au point qu'ils s'bouffent entre eux Qui deviennent agressifs une fois qu'ils sont à douze Seul, ils lèveraient pas l'petit doigt dans un combat d'pouce Adieu les jeunes moyens, les pires de tous Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse Adieu les fils de bourges Qui possèdent tout mais n'savent pas quoi en faire Donne leur l'Éden, ils t'en font un Enfer Adieu tous ces profs dépressifs T'as raté ta propre vie, comment tu comptes élever mes fils ? Adieu les grévistes et leur CGT Qui passent moins d'temps à chercher des solutions qu'des slogans pétés Qui fouettent la défaite du survêt' au visage Transforment n'importe quelle manif' en fête au village Adieu les journalistes qui font dire c'qu'ils veulent aux images Vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages Adieu la ménagère devant son écran Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents Qui pose pas d'questions tant qu'elle consomme Qui s'étonne même plus d'se faire cogner par son homme Adieu ces associations bien-pensantes Ces dictateurs de la bonne conscience Bien contents qu'on leur fasse du tort C'est à celui qui condamnera l'plus fort Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées Qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité Danser sur des chariots : c'est ça votre fierté ? Les Bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel Qui voudraient m'faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne Tellement... tellement susceptibles Pour prouver qu't'es pas homophobe, faudra bientôt qu'tu suces des types Adieu ma Nation Tous ces incapables dans les administrations, ces rois d'l'inaction Avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir Qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir Bêêêêh... Tous ces moutons pathétiques Change une fonction dans leur logiciel, ils s'mettent au chômage technique À peu près l'même Q.I. qu'ces saletés d'flics Qui savent pas construire une phrase en-dehors d'leurs sales répliques Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps Tout l'système est complètement incompétent Adieu les sectes, adieu les religieux Ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que j'vive mieux Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux Qui préfèrent s'faire enculer par la Française Des Jeux Adieu les banquiers véreux, le monde leur appartient Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main J'comprends qu'j'ai rien à faire ici quand j'branche la 1 Adieu la France de Joséphine Ange-Gardien Adieu les hippies, leur naïveté qui changera rien Adieu les SM, libertins, et tous ces gens malsains Adieu ces pseudo-artistes engagés Plein d'banalités démagogues dans la trachée Écouter des chanteurs faire la morale ça m'fait chier Essaie d'écrire des bonnes paroles avant d'la prêcher Adieu les p'tits mongols qui savent écrire qu'en abrégé Adieu les sans papiers, les clochards, tous ces tas d'déchets J'les hais ! Les sportifs, les hooligans dans les stades Les citadins, les bouseux dans leur étable Les marginaux, les gens respectables Les chômeurs, les emplois stables Les génies, les gens passables De la plus grande crapule à la Médaille du Mérite De la première dame au dernier trav' du pays ! [*Détonation...*]
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